Tapisserie Pâques 1962 de Jean Lurçat

Tapisserie Moderne de Jean Lurçat “Pâques 1962”

Tapisserie, 150 x 222 cm

Jean Lurçat
Détail de la tapisserie Pâque 1962 de Jean Lurçat
Informations détaillées

La Tapisserie de Jean Lurçat “Pâques 1962” est une œuvre d’art remarquable qui témoigne du talent et de la créativité de cet artiste français renommé. Présente dans la collection Boccara, cette pièce captivante transporte les spectateurs dans un monde poétique et symbolique.

La Tapisserie “Pâques” présente un motif vibrant et expressif représentant des scènes associées à la fête de Pâques. La tapisserie est composée de fils de laine soigneusement tissés, créant une texture et une profondeur visuelles remarquables. Chaque détail est étudié avec minutie, des couleurs vives aux formes délicates, pour créer une composition visuellement saisissante.

L’utilisation habile des couleurs dans cette tapisserie est une caractéristique distinctive du style de Jean Lurçat. Les tons riches et variés évoquent l’esprit joyeux et festif de Pâques, tandis que les motifs symboliques rappellent l’importance de cette célébration.

La tapisserie “Pâques” est une fusion artistique de l’abstraction et de la représentation figurative. Les formes et les lignes se mélangent harmonieusement pour créer une composition dynamique et équilibrée.

Présente dans la collection Boccara, cette tapisserie exceptionnelle est une invitation à découvrir l’univers créatif de Jean Lurçat. Elle incarne son style unique et son engagement envers l’art de la tapisserie en tant que forme d’expression artistique.

La collection Boccara célèbre ainsi l’héritage de Jean Lurçat en tant qu’artiste exceptionnel. “Pâques” est une pièce maîtresse de cette collection, rappelant l’importance de son travail et inspirant les générations futures à travers son art intemporel.

Matière : Laine
Artiste : Jean Lurçat
Signature de l'artiste : Sur le bas gauche
Date : 1962
Type : Tapisserie
Manufacture: Atelier Goubely

Le titre « Pâques 1962 » correspond à la date de création du carton, plutôt qu’à son sujet, qui reste traditionnel pour l’artiste : terre et air, papillon et salamandre.

En 1962, la gloire de Lurçat est à son comble, les commandes, publiques comme privées affluent, et il s’y épuise, tandis qu’il essaie simultanément de mener à bien « le Chant du Monde ». Peut-être, dans cette épuisante débauche d’énergie, souhaite-t-il interrompre le cours du temps, en datant cette tapisserie-ci ?